lundi 10 juin 2013

Quatrième séance : à la fenêtre



















Après avoir photographié la ville, l'avoir légendée (en images), l'avoir circonscrite à quelques lieux précis (à la loupe) et, enfin, l'avoir décrite selon ce qu'en perçoit un personnage (dans la tête), voici une autre façon, encore, d'en évoquer quelques aspects : en lui donnant un cadre, celui de la fenêtre.

Pour préparer cet exercice, je me suis fondée sur le roman de Raymond Bozier, Fenêtres sur le monde, paru initialement aux éditions Fayard en 2004, récemment repris et augmenté en version numérique aux éditions publie.net. Cette nouvelle version est également disponible sous format papier.

Dans ce livre, Raymond Bozier cadre, en quelque sorte, le monde en réunissant trente-sept textes courts, tous liés à la notion de fenêtre, laquelle peut également se présenter sous forme de baie vitrée, écran d'ordinateur, rétroviseur de voiture...
Pour une approche plus complète de son texte, on peut se rendre sur la page que lui a consacrée Pierre Ménard sur le site Liminaire, ou encore écouter l'auteur en parler sur le site de la BNF, qui en présente également quelques extraits.

La proposition d'écriture était la suivante : il s'agissait de décrire cinq fenêtres différentes

- une fenêtre de chez soi (chambre, cuisine, salle de bain, petite fenêtre d'un palier, dans un escalier...)
- une fenêtre lié à sa petite enfance (chez la nourrice, à l'école maternelle, chez les grands-parents...)
- une fenêtre en mouvement (dans un train, un bus, en voiture...)
- une fenêtre liée à un lieu dans lequel on est obligé de se trouver (une salle de classe, une salle d'attente, un bureau...)
- une fenêtre, au contraire, située dans un endroit dans lequel on se sent bien (cafétéria, en vacances...)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire